Bonjour,
En cette journée mondiale du refus de la misère, de quelle misère parlons-nous?
Il y a bien sûr la misère matérielle, la plus visible, celle qui est communément appellée: « pauvreté ». Les personnes qui souffrent de cette situtation contraire à la dignité humaine sont privées de leurs droits fondamentaux, d’eau, de nourriture, de conditions d’hygiène respectueuses … de protections périodiques.
Il ne faudrait pas oublier de mettre en lumière d’autres facettes de la misère. Elle revêt différents visages, tantôt misère affective, tantôt misère sociale, misère sexuelle ou encore la misère intellectuelle (il y en a bien d’autres).
Cette misère nous isole, nous éloigne de l’Autre, nous conduit parfois à la dépression et c’est la dégringolade. La solitude qu’elle engendre rend la guérison encore plus difficile.
Lors de réunions avec nos partenaires de terrain, nous rencontrons des personnes, des équipes, des associations formidables qui mettent tout en oeuvre pour lutter contre la misère en général.
Nous profitons de cette journée pour les saluer, les féliciter, les encourager à continuer leur combat quotidien avec toute la bienveillance, tout le professionnalisme et tout le respect auquel chaque personne a droit.
Chez BruZelle, nous y contribuons bien sûr en distribuant gratuitement nos trousses de serviettes hygiéniques mais c’est ensemble que nous sommes les plus forts, en travaillant tous les jours avec une même idée commune, celle de rendre la vie plus respectueuse, plus digne et nous l’espèrons, plus douce à celles et ceux qui souffrent chaque jour.
Parce que le refus de la misère c’est tous les jours!
Merci à Vous,
Merci pour Elles, merci pour Eux.
